Gretchen Am Spinnrade Texte et traduction
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- Noa Pons
"Gretchen Am Spinnrade" (ou "Gretchen at the Spinning Wheel") est le nom d'une ballade allemande Lied-A qui a été composée en 1814 par Franz Schubert, basée sur une histoire à Johann Wolfgang von Goethe's's Fauve. Dans cette grande pièce du XVIIIe siècle, Mephistopheles a fait un pari avec Dieu, qu'il peut corrompre le juste mortel Faust. Faust est attiré dans un pacte avec le diable, dans lequel le pauvre érudit Faust obtient tout ce qu'il veut sur terre, avec une promesse de servir les méphistopheles en enfer. L'une des choses que Faust veut est Gretchen, mais la romance se termine par le meurtre et l'infanticide.
Dans la scène 18 de la première partie du drame en deux parties de Goethe, Gretchen raconte l'histoire de sa relation tragique avec le savant et le docteur Faust.
Texte allemand
Meine ruh ist hin,
Mein Herz ist schwer,
Ich Finde Sie Nimmer
Und nimmermehr.
Wo ich ihn nicht habit,
IST Mir Das Grab,
Die Ganze Welt
IST Mir Vergällt.
Mein Armer Kopf
IST Mir Verrückt,
Mein aremer sinn
IST Mir Zerstückt.
Nach ihm nur schau ich
Zum Fenster Hinaus,
Nach ihm nur geh ich
Aus Dem Haus.
Gang Sein Hoher,
Sein 'Edle Gestalt,
Seines Mundes Lächeln,
Seiner Augen Gewalt,
Und seiner rede
Zauberfluss,
Sein Händedruck,
UND Ach, Sein Kuss.
Mein Busen Drängt
Sich nach ihm hin.
Auch dürf ich fassen
Und halten ihn,
Und küssen ihn,
Alors wie ich wollt,
Un Seinen Küssen
Vergehen Sollt!
Traduction anglaise de Gretchen am spinnrade
Ma paix est partie,
Mon cœur est lourd,
Je vais le trouver jamais
Et jamais plus.
Où je ne l'ai pas,
C'est la tombe,
Le monde entier
Est amer pour moi.
Ma pauvre tête
Est fou pour moi,
Mon pauvre esprit
Est déchiré.
Pour lui seulement, je regarde
Par la fenêtre
Seulement pour lui que je vais
En dehors de la maison.
Sa grande marche,
Sa silhouette noble,
Le sourire de sa bouche,
Le pouvoir de ses yeux,
Et sa bouche est
Flux magique,
Son ordinateur de main,
et ah! Son baiser!
Ma paix est partie,
Mon cœur est lourd,
Je vais le trouver jamais
Et jamais plus.
Ma sein
vers lui.
Ah, pourrais-je saisir
Et le tenir!
Et l'embrassez,
Comme je souhaite,
À ses baisers
Je devrais mourir!